Loin de l’attention médiatique, quelque 180 000 Palestinien·ne·s et leurs familles y vivent dans une détresse totale depuis seize mois. Le territoire est en effet bouclé, de sorte qu’ils ne peuvent pas se rendre à leur travail en Israël et sont privés de revenu. Quelques familles puisent dans leurs économies, mais la plupart n’ont plus de quoi se nourrir. La faim s’installe. Les travailleur·euse·s concernés bénéficient de l’appui du syndicat israélo-palestinien MAAN. Celui-ci les conseille et les aide à trouver des solutions avec leurs employeurs ou les autorités.
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